Remonter

Agostino Pantanella, journaliste plurimedia

« C’est bien mon petit ! »

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Qu’est-ce qui vous a poussé à rejoindre Lab Compagnie ?
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L’opportunité de participer à un laboratoire d’idées dans le domaine de la communication : mieux écouter mieux échanger pour bien informer.

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Quel est votre parcours ?

 

Journaliste , Formateur et Manager, ce sont les trois fonctions que j’ai occupées pendant toute ma carrière professionnelle, principalement à la radio (Sud Radio) et dans la presse écrite (Nord Eclair, Le Monde)

en consacrant plus de 18 ans à la formation en tant qu’animateur et manager.

Ex DGA du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes (CFPJ) de 2003 à 2012, je suis depuis conseiller, consultant, coach en communication comme formateur indépendant  chez AGiliCom.

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Que pensez-vous apporter à Lab Compagnie ?
 

Un regard décalé et poil à gratter.

 

Comment travaillez-vous ?
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Debout ! Derrière la caméra et devant le paperboard.

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Comment la communication est-elle entrée dans votre vie ?
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Par ma formation de journaliste (ESJ Lille) qui m’a appris à écouter avant de raconter une histoire et ainsi communiquer..

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Quel a été l’événement le plus marquant (professionnel ou privé) de votre vie ?
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Professionnellement, avoir créé en 2000 la 1ère télévision privée polynésienne (Tahiti Nui TV).
A titre privé, la réalisation en 1980 d’un Album LP «  Coupable d’Aimer » en tant qu’auteur-compositeur interprète (guitariste du groupe Pagos)

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Qu’aimez vous faire de vos loisirs ?
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Marcher et puis souffler, en regardant le temps et les gens qui passent depuis une terrasse de café ensoleillé.

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Qu’est-ce qui vous émeut ou vous révolte ?
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Je suis ému par la fragilité et l’innocence de certaines personnes.
La vanité me révolte même si c’est « mon péché préféré »  (Al Pacino dans «  L’associé du diable ») !

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De quoi êtes- vous le plus fier ?
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De mon parcours : arrivé en France à l’âge de 6 ans sans parler un mot de français, pour un fils d’ouvrier immigré italien, je me dis parfois, quand je regarde dans le rétroviseur : «  c’est bien mon petit ».